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Je me sais tremblant quand je prends la parole en public, même si ce n’est pas toujours visible, et qu'il en est de même pour nombre d’entre nous.
Je ne sais pas exactement si je suis pudique, réservé, timide, prude, honteux, puritain, résistant, peureux, dissimulateur, inhibé, secret, inquiet, anxieux ou un peu tout cela à la fois. Disons, puisque c’est le sujet, que je suis pudique.
La pudeur est affaire de personnes. Que la pudeur soit une vertu, je n’en suis pas sûr. Que ce soit affaire de cultures, de religions, de temporalité, c’est possible. Que le corps, le désir, la mort y participent, c’est probable.
La pudeur créé le trouble, fait balbutier, palpiter les tempes, rosir les joues, trembler la main. Exposer son corps, montrer ses affects, faire passer à l’extérieur ce qui est à l’intérieur, rendre visible, répugne à la personne pudique.
Je sais que, lisant ce texte en public, il faudrait peu de choses pour que physiquement et mentalement, je me liquéfie. Il m’est arrivé plusieurs fois, dans un contexte professionnel, d’être incapable de sortir un son devant un auditoire.
Je vais donc prendre « sur moi » comme l’on dit, être un tant soit peu impudique, faire ce que j’ai appris progressivement à faire l’âge venant, donner quelques exemples personnels ; nous verrons bien ce qu’il est possible d’en dire.

Titien Ranuccio Farnese
Titien, Portrait de Ranuccio Farnese, détail, National Gallery of Art, Washington

Des exemples personnels.

Mon père a attendu l’âge de quatre-vingts ans pour être capable de faire comprendre, pas de dire, qu’il aime.
Je ne me souviens guère de lui dénudé, que sur les plages de Normandie quand j’étais enfant, couvert de sable et d’un maillot de bain assez moche qui lui remontait sous les aisselles. Il était en revanche spécialiste des histoires salaces que l’on raconte en fin de banquets de mariage, de baptême, voire de funérailles. Pudique mais pas timide. A moins que ce soit pudique et très timide.
Ma mère quant à elle continue à laisser une fois sur deux la porte des toilettes entrouvertes, ce qui me gêne, promène souvent son pauvre corps vieillissant à peine couvert, peut pleurer et rire dans la même minute et expliquer pendant des heures la nature précise de ses sentiments, maux et douleurs.
Je vais aujourd’hui à la piscine, plusieurs fois par semaine, sans trop de difficultés, aidé par la présence de quinquagénaires callipyges ou ventrus. Ce ne fut pas toujours le cas, même quand je pesais vingt kilos de moins.
Quand je ne suis pas seul, dans ma chambre et dans mon lit, j’aime ce seul rai de lumière venu de l’extérieur.
J’ai perdu très récemment un ami cher et j’ai aimé la réserve douloureuse, l’absence de cris et de démonstrations de son épouse et de ses enfants. Ce qui m’a aidé considérablement, le pudique ne sachant pas toujours comment se comporter dans de telles situations. Ainsi, quand je vois et j’entends à la télévision les cris des femmes palestiniennes aux funérailles de leur mari ou de leur enfant par exemple, je suis à chaque fois bouleversé mais dans l’incapacité de dire si c’est leur douleur ou son expression qui me troublent. Sans doute les deux.
Je déteste ces émissions de téléréalité ou les corps et les sentiments s’étalent. Et pourtant je suis un visuel, voire un voyeur. Je n’ai jamais été capable de chanter ou de crier des slogans pendant les défilés. Et j’en ai suivi de nombreux, et les slogans me paraissaient souvent justes.
J’arrêterai là avec mes exemples piochés dans ma réserve ! Mais l’absence de réserve n’est pas l’authenticité. Comme dit un proverbe japonais « l’authenticité est une vertu bonne pour la grenouille qui, lorsqu’elle ouvre la bouche, laisse voir tout le dedans ». Je me méfie en effet beaucoup de l’exigence d’authenticité, de transparence. Et j’ai un certain goût pour le secret.

Qu’est-ce que la pudeur ?

La pudeur n’est pas la honte, même si l’étymologie est trompeuse. Pudor en latin signifiant « honte honnête ». Le dictionnaire parle de « Sentiment pénible qu'excite dans l'âme la pensée ou la crainte du déshonneur. » Le honteux a commis ou subi un acte négatif, délictueux, asocial révélé à d’autres. Ce n’est pas le cas du pudique.
La pudeur n’est pas tromperie, « elle doit se méconnaître pour être tout ce qu’elle doit être : consciente d’elle-même, elle devient suspecte. » Elle est inconsciente et naturelle. La pudeur qui s’annonce n’est plus pudeur mais manœuvre, dissimulation, manipulation. La pudeur n’est pas un faux semblant mais un vrai-semblant.
La pudeur est attention exclusive à l’Autre.
L’on n’est pas pudique seul, mais on peut être pudique dans la solitude, au milieu des autres, quand personne n’est en mesure de percevoir ou d’apprécier cet « état » destiné à soustraire à leur regard tout ce qui pourrait engendrer la confusion et la gêne. La pudeur est un permanent questionnement sur ce qu’il convient de dire et de faire, quelquefois jusqu’à l’excès quand s’y ajoute la timidité, l’anxiété, le stress.

La pudeur, une vertu féminine ?

Courage de l’homme, pudeur de la femme. Vieille antienne !
Montesquieu parlant des hommes et des femmes dans « l’esprit des lois » dit : « la nature a parlé à toutes les nations […] ayant mis des deux côtés des désirs, elle a placé dans l’un la témérité, et dans l’autre la honte. » 1
Ces représentations sexuelles ont bougé, certes, mais pas autant qu’on pourrait l’imaginer.
Cependant, dans notre société « on peut imaginer une forme de franchise déclarative chez une femme qui ne soit pas repoussante ; ou, à l’inverse, une forme de réticence et de réserve chez un homme qui ne soit pas ridicule » .2
Je laisserai les femmes parler de leur ressenti sur cette question. En tant qu’homme, ce n’est pas sans difficulté que j’ai du confronter, depuis l’enfance, l’image d’un garçon sensible et pudique, donc éventuellement non viril, à la contre-image du bagarreur éventuellement hâbleur, puits sans fond de testostérone agissante. Ce ne fut pas que négatif, j’ai pu développer les défenses nécessaires et il y a longtemps que j’ai compris que la virilité n’était pas affaire que de testostérone. Mais encore aujourd’hui, mon intérêt limité pour les matchs de foot télévisés que l’on regarde entre potes en mangeant des pizzas froides et en buvant des bières, créé des frontières. Je caricature un peu.
La pudeur deviendra t-elle l’une de ces variables, indifférente au sexe, comme la couleur des yeux. Ce n’est pas gagné.
Et le désir ?
«Aristote, pour qui la vertu est toujours juste mesure entre deux vices (l'un par défaut, l'autre par excès), faisait de la pudeur la juste mesure entre la honte et l'obscénité. [La pudeur est-elle piment du désir ?] Quel est le corps le plus désirable ? Celui qui n'est ni tout à fait voilé, ni tout à fait dévoilé. La puritaine, qui cache son corps sous maintes armures, décourage le désir, mais l'impudique, qui l'exhibe avec obscénité, coupe l'herbe sous le pied du désir ! [Faut-il] que le corps soit pour un temps dérobé au regard pour qu'il puisse devenir objet de désir : imaginé, attendu, désiré... ? » 3
Comme Baudelaire je préfère une faible lumière :

Et la lampe s'étant résignée à mourir,
Comme le foyer seul illuminait la chambre,
Chaque fois qu'il poussait un flamboyant soupir,
Il inondait de sang cette peau couleur d'ambre !
4

Ensuite, il faut bien vivre l’irruption et commettre l’effraction.

Ambivalence de la pudeur

La pudeur est à la fois une force et une faiblesse.
Quand la pudeur du pudique est vraie pudeur il n’y a pas de calcul, d’intention de paraître sublime, incorporel, évanescent, mais de ménager, entre l’Autre et soi, un espace d’esquive fragile pour ne pas être cause de trouble.
« La pudeur glisse hors de prise, avec une sorte de douceur, sans qu’on puisse jamais désigner ce qui l’anime ; sans trop qu’on puisse désigner si la peur de déplaire ou la peur de plaire est le vrai motif du geste de retrait. » 5
Cet espace sans péril, désarmé, a pour but d’être un prélude à la sympathie, à l’entente, à la communication. Cette pudeur est une manière d’être.
Jankélévitch dit : [la pudeur] « est sans doute un autre nom pour cette volonté d’exprimer le plus en disant le moins, ou vice versa de laisser paraître moins d’émotion qu’on en éprouve. » 6
La pudeur est alors une force.
Quand la pudeur devient faiblesse, elle se révèle par une réticence panique, par un sentiment alors proche de la honte. Et peut déclencher une agressivité destinée à stopper l’Autre, chez qui l’on perçoit l’imminence du dévoilement, de la mise à nue. Et ce dévoilement n’est pas nécessairement de nature inavouable, mais perçu par le pudique comme insupportable.
Le pudique est d’abord, mais heureusement pas uniquement, un être « adapté ». Adapté à ce que voulaient le père, la mère, la société, l’entreprise, le patron…
Le pudique ne se satisfait pas de sa pudeur sous prétexte qu’elle serait une vertu. Il cherche à s’entourer d’un monde à sa convenance, qui ne soit ni ennuyeux ni blessant, où la pudeur sera ménagée, la pudeur en général et la sienne propre en particulier. Il a besoin d’un monde où la pudeur existe, où elle est respectée.
La pudeur est liée au sens des limites, et ces limites sont géographiquement, culturellement très différentes ; même si ce qui est délimité n’est pas toujours clair et peut être mouvant. Il s’agit le plus souvent de l’expression des sentiments, des limites du corps, de ce qui est sexué ou perçu comme tel, mais pas nécessairement de la nudité. D’ailleurs, même la justice ne confond pas nudité et exhibition, lascivité et obscénité.
La pudeur n’est pas la peur. L’histoire récente abonde de pudiques capables d’actes courageux.
La pudeur est donc « réaction émotive, geste ou cri natif, imprévisible. » 7

La place publique

Ce monde est-il encore le mien ? Ce n’est pas sûr. « Toute pudeur n’est-elle pas dévaluée d’avance, dans une société marchande qui fait de l’exhibition le ressort du spectacle publicitaire »
Dans le jardin d’Eden, Adam et Eve n'éprouvaient aucune honte à être nus. (Genèse 1, 25). Ils croquèrent la pomme, le vers était dans le fruit, ils découvrirent leur nudité. Et devenus pudiques, lorsque Dieu se montrât à eux, ils se cachèrent. Dieu lui-même les habillât : « Yahvé Dieu fit à l'homme et à sa femme des tuniques de peau et les en vêtit. » (Genèse 3, 21)
Alors le pudique est-il le résultant d’une oppression millénaire ?
Il n’y a pas d’êtres humains qui ne connaissent la pudeur, parce que la pudeur rend possible l’exploration du monde. C’est d’actes impudiques qu’ils soient violents ou délicieux que naissent les actes de transgression.
La pudeur est-elle première ou réponse à un « attentat » comme dit la justice ? La pudeur est-elle conformité à la décence, aux bonnes mœurs, aux codes ou un des éléments nécessaire au « vivre ensemble » ?
La pudeur a-t-elle à voir avec la décence qui fixe des limites au corps sexué et à son expression, y trace des lignes de visibilité physiques et émotionnelles et veille à ce que ces lignes ne soient pas franchies ?
Ainsi, la vie actuelle des hommes et des femmes dans les prisons françaises m’horrifie. Comment obliger journellement ces êtres à uriner, déféquer devant les autres. Et ce n’est pas affaire de pudibonderie. Les mêmes personnes prennent des douches collectives sans difficultés.
Les limites de la pudeur sont incertaines.
Les publicitaires de la société marchande racolent dans tous les médias jusqu’à l’obscénité et ce racolage ne participe pas d’un monde tranquille et pacifié. Et, pour le pudique, un combat se livre dans l’espace publique, difficile à soutenir si l’on ne veut être ni pudibond, ni puritain et respectueux des libertés individuelles.
D’un côté, les ligues de vertu chercheront toujours à interdire « la naissance du monde » de Courbet, feront peindre des feuilles de vigne au plafond de la chapelle Sixtine ou interdire les « versets sataniques », alors que l’art, n’est pas impudeur mais fiction, création, transfiguration du réel. Ces ligues définissent une conception de la pudeur dans le surgissement d’émotions, quelquefois légitimes, pour créer et imposer des normes, leurs normes.
A contrario, les acteurs de la société marchande, au nom de la liberté publique, cherchent à nous contraindre, à nous déclarer solidaires de quelque chose que nous n’avons pas décidé, nous rendant honteux de notre pudeur, de notre timidité, en nous dépouillant de notre individualité.
Comment accepter, non pas l’exposition de corps nus dans la publicité par exemple (encore que pour vendre des yaourts !), mais les images de mode de vie artificielles, des stéréotypes physiques, vestimentaires, ethniques permanents qui nous sont proposés alors que nous ne seront jamais équivalents à ces stéréotypes.
Comment accepter cet appel permanent à ce qui pourrait flatter un narcissisme exhibitionnaire qui gît latent en chacun de nous. Un ami enseignant m’avait raconté il y a quelques années le fait suivant. Un élève avait tagué sur le mur de l’école « les jeunes font l’amour, les vieux font des gestes obscènes ». Cela me paraît être un exemple signifiant de l’influence néfaste des modèles proposés.
« L’impudeur n’est là que le masque d’une tyrannie qui n’a rien à voir avec la liberté sexuelle, [légitimement revendiquée], ni même avec la liberté de commercer, mais regarde avec haine la liberté de détermination de l’individu. […] La pudeur réagit aux outrages, en révèle l’atteinte ; en ce sens, elle est toujours minoritaire, toujours encerclée par une impudeur acharnée contre elle. […]
Démonstrative et avide de lumière, l’impudeur [marchande] est en définitive profondément opaque, parce qu’elle rejette à l’extérieur d’elle-même ce qu’elle ne veut pas connaître, et croit qu’en la rendant visible, en le réduisant à du simple visible, elle évite d’en être habitée.
». 9
La pudeur est une qualité sensible plutôt que rationnelle. Si elle se focalise sur le corps et sur le sexe, elle n’en demeure pas moins, d’abord, un sentiment. Le dictionnaire dit « une disposition à éprouver de la gêne devant l’évocation de choses très personnelles », que l’on pourrait également définir comme une résistance à une emprise, à une fusion, à une dépossession, à une « objectisation ».
Quant à la justice, qui se veut pudique, et qui applique les lois créées par nombre de thuriféraires de la société marchande ou des ligues de vertu, elle se trouve face à une contradiction et à une aporie : être au comble de l’impudeur pour juger du contraire. L’affaire d’Outreau en est un exemple. La justice ne devrait pourtant jamais s’abstraire du droit de chacun à la pudeur.
Ce monde est-il encore le mien ?

Ailleurs

Il est aussi des pudeurs grégaires. Les formes de la pudeur varient selon les peuples, les sociétés, les époques. Elles sont sans doute le résultat d’élaboration culturelles, acquises par apprentissages devenus habitudes, seconde nature. Toute généralisation serait abusive, mais les exemples abondent.
Je n’en ferai pas l’exhaustivité mais quelques exemples peuvent permettre de comprendre combien mon approche de la pudeur est personnelle, spécifique même.
Ainsi les anglo-saxons ont, en public, un relationnel physique limité. L’Autre est maintenu à distance. Rares embrassades, limitées à des accolades accompagnées de quelques claques dans le dos, y compris entre un père et ses enfants après une longue absence. La bulle protectrice est à distance.
Les latins s’embrassent plus volontiers, quelquefois avec effusion, et les jeunes aujourd’hui, garçons ou filles, s’embrassent souvent, à petite distance. La bulle est plus près du corps.
Dans les pays africains que je connais, Maghreb, Afrique de l’ouest, les hommes et les femmes se promènent souvent la main dans la main et vous tiennent éventuellement le bras ou le genou pendant une conversation. Ce qui personnellement me met très mal à l’aise. La bulle protectrice africaine est à l’intérieur du corps.
En Birmanie, il est absolument interdit de toucher la tête d’un enfant, ce qui pour un européen est un geste de tendresse très habituel et très difficile à contenir.
En Chine, où le mot pudeur xiu chi est un mélange de timidité rougissante et de honte, il n’est pas considéré comme indécent de cracher à tout instant (c’est même une calamité), de soulager ses besoins naturels « en public », alors qu’il est impudique de dire « je t’aime »10 à l’élu(e) de son cœur.
Au Japon, la culture est pénétrée du « mono no aware», la poignance des choses 11 que les japonais ont érigé en valeur suprême et qui traverse toute l’œuvre médiévale le Dit du Genji de Murasaki-Shikibu 12 et est toujours présente dans les œuvres plus récentes de Soseki ou de Tanizaki par exemple. Le souci minutieux de l’apparence, ses critères de décence, de galanterie et d’humour, tout un esthétisme épris de conventions imprègne la mentalité contemporaine japonaise, au point que certains auteurs parlent de culture de la pudeur. 13
Quant à la Maison de l’Islam, que je ne résume ni aux Perses, ni aux Arabes, la pudeur y est une vertu cardinale. C’est le prophète qui l’énonce et « le moins que l’on puisse dire est qu’il n’a pas prêché dans le désert d’Arabie » 14. Etre musulman consiste donc à suivre le Modèle, Mohamed, et la pudeur à s’abstenir. Quant à la femme, le Prophète dit : « Je ne laisserai pas de cause de discorde plus funeste pour (la communauté des musulmans) que la femme ». De là à appliquer et à anticiper dans l’excès. (cf. le voile).

En conclusion

« La pudeur n’est pas une vertu jalouse, pudibonde. Ce qu’elle défend, avec intransigeance, c’est de se prêter au semblant. Ce qu’elle fuit, c’est la complaisance de commande et l’exhibition forcée. Condition de la ferveur et sceau de l’authenticité, elle est la retenue consubstantielle à l’émotion, son rebord intérieur ». 15
Mais l’impudeur peut, dans certains cas et sans crainte, être une nécessitée. Il faut parfois « ouvrir la loi et la laisser ouverte pour que quelque chose entre et trouble le jeu habituel de la liberté. Il faut ouvrir à l’impie, à l’interdit, pour que l’inconnu des choses entre et se montre. » 16
Sans crainte, parce qu’« il reste toujours quelque chose en soi, en vous, que la société n’a pas atteint, d’inviolabilité, d’impénétrable et de décisif » . 17

1- de l’esprit des lois – livre XVI chapitre XII
2- Claude Habib – vertu de femme ?
3- Eric Fiat – Philosophe - Le mensonge, du point de vue de l'éthique - Soins Pédiatrie-Puériculture n°201 - août 2001
4- Baudelaire – Les fleurs du mal – Les bijoux
5- Claude Habib
6- id p93
7- La réaction à l’outrage – Pierre Pachet – La pudeur p23
8- Claude Habib – préface à « la pudeur »
9- id-
10- Anne Cheng – Vertus de la pudeur dans la Chine classique
11- Repenser l’ordre, repenser l’héritage – Paysage intellectuel du Japon – Ecole pratique des hautes études orientales
12- époque Heian - Xème-XIème siècle
13- Le théâtre des sentiments : scènes japonaises – Véronique Perrin
14- Slimane Zeghidour – La retenue islamique
15- Patrick Hochart – L’espace intime
16- Marguerite Duras – La vie matérielle
17- Marguerite Duras – Les yeux verts


F.D.