Francis photos | Népal 2008 | Katmandhu
Durbar square.
Maison de la Kumari royale. La Kumari est une enfant déesse incarnant la déesse hindoue Taleju, (autre forme de Durga). Enfant de 4 ans, choisie dans le clan des Sakya (le même que celui du Bouddha) à partir de 32 critères physiques elle deviendra déesse après avoir subi une nuit de terreur permettant de savoir si elle est la déesse attendue. Elle vivra recluse dans son temple, le Kumari Ghar, jusqu'à sa puberté et aura très peu de contacts avec la population. Apparaissant seulement pour les fêtes de Dasein (fête de Durga) pour bénir les hindouistes et les bouddhistes qui la vénèrent. Le nouveau gouvernement républicain conteste le traitement infligé à cette enfant. La Cour suprême du Népal a estimé que l'absence de documents historiques ou religieux confirmant la nécessité pour la Kumari de ne pas se déplacer ou de ne pas aller à l'école prouvait que de telles pratiques devaient cesser. Les religieux en charge de l'actuelle Kumari ont répondu qu'elle recevait ses ordres de l'autorité divine et non de la Cour suprême.
Maison de la Kumari royale. La Kumari est une enfant déesse incarnant la déesse hindoue Taleju, (autre forme de Durga). Enfant de 4 ans, choisie dans le clan des Sakya (le même que celui du Bouddha) à partir de 32 critères physiques elle deviendra déesse après avoir subi une nuit de terreur permettant de savoir si elle est la déesse attendue. Elle vivra recluse dans son temple, le Kumari Ghar, jusqu'à sa puberté et aura très peu de contacts avec la population. Apparaissant seulement pour les fêtes de Dasein (fête de Durga) pour bénir les hindouistes et les bouddhistes qui la vénèrent. Le nouveau gouvernement républicain conteste le traitement infligé à cette enfant. La Cour suprême du Népal a estimé que l'absence de documents historiques ou religieux confirmant la nécessité pour la Kumari de ne pas se déplacer ou de ne pas aller à l'école prouvait que de telles pratiques devaient cesser. Les religieux en charge de l'actuelle Kumari ont répondu qu'elle recevait ses ordres de l'autorité divine et non de la Cour suprême.